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L’événement a réuni virtuellement l’industrie et le monde universitaire, autour des applications de l’apprentissage profond et de l’apprentissage automatique. Parmi les sujets traités : la prévision médicale, l’inspection robotique automatisée, le changement climatique (comme le projet Hurricast pour prévoir les ouragans). Pour construire une IA éthique, la panéliste Irina Rish a proposé de mettre en œuvre davantage d’efforts interdisciplinaires. Détentrice de 64 brevets, Irina Rish a fait carrière chez IBM avant de choisir cet été l’Université de Montréal. Les travaux de sa chaire de recherche, dotée d’un budget de 34 millions, ciblent les liens entre le cerveau humain et l’intelligence artificielle.
