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Chaque semaine, retrouvez sur notre blog un résumé de la veille stratégique du laboratoire numérique Inyulface.
A force de lire des articles et rapports sur l’évolution des technologies numériques, le développement du métavers et la transformation des métiers, il nous arrive de repenser à ces métiers d’autrefois aujourd’hui disparus. Comme le beau métier d’allumeur de lampes de rue (ou lampiste, plus négativement connoté), du temps où les lampadaires du Québec et de Montréal fonctionnaient à l’huile de baleine, de loup-marin ou de morue (puis de gaz à partir des années 1840). Il faudra encore attendre 38 ans, et l’exposition internationale de Paris 1878 pour voir les premières expérimentations d’éclairage de rue à l’électricité, sur l’Avenue de l’Opéra. Une invention importée ici dès la fin de l’année 1878 par l’homme d’affaires Montréalais Joseph Ambroise Isaïe Craig, avec une première installation de lampadaire électrique à Montréal (devant le Collège Sainte-Marie). Combien de temps auront eu les allumeurs de lampe pour se préparer à la fin de leur métier et que sont-ils ensuite devenus ? Nous creuserons peut-être le sujet pour un prochain éditorial… (D’ici là, si l’épopée de l’éclairage de rue vous intéresse, vous pouvez consulter cet article sur ProposMontréal.com et cet autre sur JournalLeMontérégien.com d’où vient la photo d’illustration appartenant à Mme Suzanne Desfossés).
Bonne lecture!
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