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Depuis jeudi dernier, les québécois qui se font vacciner reçoivent un message électronique qui leur donne accès à une preuve vaccinale sur leur téléphone. Le format choisi pour cette preuve vaccinale est un code QR. L’occasion de faire un point sur le fonctionnement de cette technologie, et sur les précautions à prendre pour son utilisation.
En effet, l’utilisation des code QR appelle de la prudence. Autant du côté des sociétés ou organismes qui décident de s’en servir, que du côté des consommateurs ou citoyens. Car même si les codes QR sont utilisés aussi à des fins marketing depuis de nombreuses années (pour faciliter le clic sans avoir à taper une url), cela ne veut pas dire qu’ils sont sans danger. Par exemple, un site frauduleux pourra masquer une url usurpée en se servant d’un QR Code (ou d’un raccourcisseur d’url comme Bitly par exemple).
Enfin dans le cas du code QR québécois de preuve vaccinale, il contient des informations sensibles sur l’identité de l’individu. Ce code est donc protégé par chiffrement et son utilisation est strictement réglementée. Les individus doivent aussi être prudents en ne partageant pas ce code sur les réseaux sociaux. Un conseil partagé notamment en France où le code QR joue le double rôle de preuve de vaccination et de passeport vaccinal. Ce qui n’est pas encore le cas au Québec.
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